

Notre nouveau journal (n°271) sera dans les bacs mardi prochain et envoyé à nos membres durant la semaine.
Les plus impatients d'entre vous peuvent déjà le consulter ici en PDF....
Pas facile d’avoir 13 ans, de tenter de camoufler son acné et, en même temps travailler son image sur les réseaux sociaux… Voici la chronique de Keyla, une nouvelle pépite du cinéma indépendant américain découverte au festival de Sundance
En s’appuyant sur le fil tendu d’une enquête policière, le cinéaste tunisien Mahmoud Ben Mahmoud nous immerge dans les turbulences d’un pays miné par la montée de l’intégrisme religieux
David Lowery, le réalisateur de A Ghost Story, offre à Robert Redford son beau tour de piste dans le rôle d’un truand au grand cœur qui a du mal à décrocher de l’adrénaline des braquages
Un documentaire salutaire sur les aides ménagères, ces femmes de l’ombre dont l’indispensable et difficile travail est encore trop souvent déconsidéré
Glenn Close est l’héroïne de ce beau drame conjugal, cette femme rompue aux désirs de son mari et qui, à l’orée de la consécration de celui-ci, va remettre toute sa vie en question…
Un fils en désintox revient dans sa famille pour Noël. Un drame sensible innervé par la magistrale Julia Roberts en mère courage
Le réalisateur de "Still Alice" s'empare des jeunes années de Colette avec un regard définitivement émancipateur et féministe, depuis son mariage avec Willy jusqu'à son envol d'écrivaine reconnue
Une comédie virevoltante portée par des numéros d’acteurs inspirés, plaisante, pleine d’esprit et de répliques cinglantes. Un regard jubilatoire sur notre devenir 2.0.
Faire des suites de blockbuster au cinéma, Hollywood sait faire, et n’hésite jamais. Mais laisser à Shyamalan (Split, Incassable) le destin de ses (anti)héros barrés et la maîtrise de son univers fantastico-horrifique, c’est beaucoup plus excitant que n’importe quel « sequel »
Simon est un médecin aguerri, qui côtoie la mort quotidiennement dans son service de pneumologie. En bon professionnel, il a appris à s’en protéger, jusqu’au jour où sa mère est à son tour hospitalisée
Le réalisateur de The Lobster revient avec une savoureuse comédie noire à la cour d’Angleterre, où le baroque se fait punk et l’intelligence se mue en sauvagerie grotesque. Sans aucun doute son film le plus délicieux, et le plus grand public
On ne peut pas vous le garantir, mais il paraît qu’Eastwood revient en meilleure forme et que La mule a des airs prometteurs de Gran Torino
Après l’avoir mise en scène dans un spectacle de danse, Andréa Bescond adapte son histoire au cinéma : celle d’une jeune femme abusée durant son enfance et en quête de résilience. Un film d’une force incroyable où l’émotion est plus qu’au rendez-vous !
Pamela est Rom, jeune, insolente et ne peut se résoudre à suivre une vie qui semble toute tracée. Elle part donc chercher un incertain avenir en Belgique… Marta Bergman signe un premier film sensible qui puise son réalisme dans une précision documentaire tout en s’autorisant des envolées poétiques, presque romantiques. Sélectionné à l’ACID à Cannes 2018
Les tabous sociaux et le statut des femmes en Inde sont au cœur de cette romance délicate entre un homme fortuné et son aide-ménagère
Robert Rodriguez, réalisateur de Sin City, et James Cameron, ici au scénario, se sont unis pour proposer un des films les plus attendus de ce début d’année, avec une humanoïde au passé incertain, aux pouvoirs mystérieux et dotée d’une humanité que beaucoup d’hommes semblent avoir perdue…
Une cavale douloureuse au souffle westernien entre une mère (Virginie Efira) et son fils (Kacey Mottet Klein). Et Joachim Lafosse d’être toujours présent pour évoquer l’éclat de l’intime dans un film d’action parfaitement maîtrisé
Joseph, Joachim et Ivan. Un père et ses deux fils, chacun traversé par les affres de la vie. Félix Moati signe son premier film en tant que réalisateur et nous plonge dans un portrait de famille au masculin qui n’est pas loin de nous rappeler les débuts de Noah Baumbach.
Une traversée bouffonne et désespérée du chaos est-ukrainien. Vainqueur cette année du Prix de la mise en scène de la compétition "Un certain regard" à Cannes, Donbass est un film superbement maîtrisé
Fortuna est de ces films qui sortent de l’ordinaire, dont on se souvient longtemps. Dans un noir et blanc intense, Germinal Roaux nous présente en douceur un sujet dur, l’histoire d’une jeune Éthiopienne de 14 ans, livrée à elle-même et recueillie dans un monastère
Avec Green Book, nous retrouvons le plaisir d’un cinéma américain intelligent, populaire et éminemment divertissant. Un pianiste classique virtuose s’adjoint un chauffeur, garde du corps à ses heures, pour une tournée dans les États sudistes pas toujours franchement accueillants…
Entre moiteur et poussière, Arthur Penn capte toutes les contradictions de l’Amérique. Éblouissant et toujours d’actualité
Un documentaire précis, virulent et passionnant sur les nouveaux protocoles de l’exploitation forestière
Pour son quatrième film, la comédienne Valeria Bruni Tedeschi se fond dans une famille de la très haute bourgeoisie qui se languit en bord de mer. Tout un art de la mise en scène hallucinée et caustique
Le retour des familles Verneuil et Koffi au grand complet ! Et Christian Clavier de s’offrir quelques convulsions pour digérer les aspirations colorées de sa famille multiculturelle
Depuis l’éblouissant Moonlight, nous attendions le retour de Barry Jenkins. Il revient avec une histoire d’amour majestueuse confrontée aux turbulences racistes de la société américaine, adaptée d’un roman de James Baldwin. De la grâce, de la mélancolie, de l’injustice et un torrent d’émotions : l’année cinéma commence bien
Un thriller judiciaire efficace, pointant du doigt certaines failles du système, sa fébrilité face à la toute puissance de l’opinion publique. Une adaptation documentée d’un fait-divers sublimée par deux comédiens (Olivier Gourmet et Marina Foïs) totalement investis
Le réalisateur allemand de La vie des autres nous revient avec une fresque romanesque sidérante. Un récit puissant sur fond d’histoire allemande, de la Seconde Guerre mondiale aux années 1960, avec les arts plastiques comme fil conducteur
Un documentaire salutaire sur les aides ménagères, ces femmes de l’ombre dont l’indispensable et difficile travail est encore trop souvent déconsidéré
Fortuna est de ces films qui sortent de l’ordinaire, dont on se souvient longtemps. Dans un noir et blanc intense, Germinal Roaux nous présente en douceur un sujet dur, l’histoire d’une jeune Éthiopienne de 14 ans, livrée à elle-même et recueillie dans un monastère
Entre moiteur et poussière, Arthur Penn capte toutes les contradictions de l’Amérique. Éblouissant et toujours d’actualité
Pamela est Rom, jeune, insolente et ne peut se résoudre à suivre une vie qui semble toute tracée. Elle part donc chercher un incertain avenir en Belgique… Marta Bergman signe un premier film sensible qui puise son réalisme dans une précision documentaire tout en s’autorisant des envolées poétiques, presque romantiques. Sélectionné à l’ACID à Cannes 2018
Le retour des familles Verneuil et Koffi au grand complet ! Et Christian Clavier de s’offrir quelques convulsions pour digérer les aspirations colorées de sa famille multiculturelle
Le réalisateur allemand de La vie des autres nous revient avec une fresque romanesque sidérante. Un récit puissant sur fond d’histoire allemande, de la Seconde Guerre mondiale aux années 1960, avec les arts plastiques comme fil conducteur
Simon est un médecin aguerri, qui côtoie la mort quotidiennement dans son service de pneumologie. En bon professionnel, il a appris à s’en protéger, jusqu’au jour où sa mère est à son tour hospitalisée
Une cavale douloureuse au souffle westernien entre une mère (Virginie Efira) et son fils (Kacey Mottet Klein). Et Joachim Lafosse d’être toujours présent pour évoquer l’éclat de l’intime dans un film d’action parfaitement maîtrisé
Un fils en désintox revient dans sa famille pour Noël. Un drame sensible innervé par la magistrale Julia Roberts en mère courage
David Lowery, le réalisateur de A Ghost Story, offre à Robert Redford son beau tour de piste dans le rôle d’un truand au grand cœur qui a du mal à décrocher de l’adrénaline des braquages
Une cavale douloureuse au souffle westernien entre une mère (Virginie Efira) et son fils (Kacey Mottet Klein). Et Joachim Lafosse d’être toujours présent pour évoquer l’éclat de l’intime dans un film d’action parfaitement maîtrisé
David Lowery, le réalisateur de A Ghost Story, offre à Robert Redford son beau tour de piste dans le rôle d’un truand au grand cœur qui a du mal à décrocher de l’adrénaline des braquages
On ne peut pas vous le garantir, mais il paraît qu’Eastwood revient en meilleure forme et que La mule a des airs prometteurs de Gran Torino
Après l’avoir mise en scène dans un spectacle de danse, Andréa Bescond adapte son histoire au cinéma : celle d’une jeune femme abusée durant son enfance et en quête de résilience. Un film d’une force incroyable où l’émotion est plus qu’au rendez-vous !
Joseph, Joachim et Ivan. Un père et ses deux fils, chacun traversé par les affres de la vie. Félix Moati signe son premier film en tant que réalisateur et nous plonge dans un portrait de famille au masculin qui n’est pas loin de nous rappeler les débuts de Noah Baumbach.
Robert Rodriguez, réalisateur de Sin City, et James Cameron, ici au scénario, se sont unis pour proposer un des films les plus attendus de ce début d’année, avec une humanoïde au passé incertain, aux pouvoirs mystérieux et dotée d’une humanité que beaucoup d’hommes semblent avoir perdue…
Avec Green Book, nous retrouvons le plaisir d’un cinéma américain intelligent, populaire et éminemment divertissant. Un pianiste classique virtuose s’adjoint un chauffeur, garde du corps à ses heures, pour une tournée dans les États sudistes pas toujours franchement accueillants…
Depuis l’éblouissant Moonlight, nous attendions le retour de Barry Jenkins. Il revient avec une histoire d’amour majestueuse confrontée aux turbulences racistes de la société américaine, adaptée d’un roman de James Baldwin. De la grâce, de la mélancolie, de l’injustice et un torrent d’émotions : l’année cinéma commence bien
Joseph, Joachim et Ivan. Un père et ses deux fils, chacun traversé par les affres de la vie. Félix Moati signe son premier film en tant que réalisateur et nous plonge dans un portrait de famille au masculin qui n’est pas loin de nous rappeler les débuts de Noah Baumbach.
Robert Rodriguez, réalisateur de Sin City, et James Cameron, ici au scénario, se sont unis pour proposer un des films les plus attendus de ce début d’année, avec une humanoïde au passé incertain, aux pouvoirs mystérieux et dotée d’une humanité que beaucoup d’hommes semblent avoir perdue…
Avec Green Book, nous retrouvons le plaisir d’un cinéma américain intelligent, populaire et éminemment divertissant. Un pianiste classique virtuose s’adjoint un chauffeur, garde du corps à ses heures, pour une tournée dans les États sudistes pas toujours franchement accueillants…
On ne peut pas vous le garantir, mais il paraît qu’Eastwood revient en meilleure forme et que La mule a des airs prometteurs de Gran Torino
Depuis l’éblouissant Moonlight, nous attendions le retour de Barry Jenkins. Il revient avec une histoire d’amour majestueuse confrontée aux turbulences racistes de la société américaine, adaptée d’un roman de James Baldwin. De la grâce, de la mélancolie, de l’injustice et un torrent d’émotions : l’année cinéma commence bien
Faire des suites de blockbuster au cinéma, Hollywood sait faire, et n’hésite jamais. Mais laisser à Shyamalan (Split, Incassable) le destin de ses (anti)héros barrés et la maîtrise de son univers fantastico-horrifique, c’est beaucoup plus excitant que n’importe quel « sequel »
David Lowery, le réalisateur de A Ghost Story, offre à Robert Redford son beau tour de piste dans le rôle d’un truand au grand cœur qui a du mal à décrocher de l’adrénaline des braquages
Le réalisateur de The Lobster revient avec une savoureuse comédie noire à la cour d’Angleterre, où le baroque se fait punk et l’intelligence se mue en sauvagerie grotesque. Sans aucun doute son film le plus délicieux, et le plus grand public
Un thriller judiciaire efficace, pointant du doigt certaines failles du système, sa fébrilité face à la toute puissance de l’opinion publique. Une adaptation documentée d’un fait-divers sublimée par deux comédiens (Olivier Gourmet et Marina Foïs) totalement investis
David Lowery, le réalisateur de A Ghost Story, offre à Robert Redford son beau tour de piste dans le rôle d’un truand au grand cœur qui a du mal à décrocher de l’adrénaline des braquages
Joseph, Joachim et Ivan. Un père et ses deux fils, chacun traversé par les affres de la vie. Félix Moati signe son premier film en tant que réalisateur et nous plonge dans un portrait de famille au masculin qui n’est pas loin de nous rappeler les débuts de Noah Baumbach.
Le retour des familles Verneuil et Koffi au grand complet ! Et Christian Clavier de s’offrir quelques convulsions pour digérer les aspirations colorées de sa famille multiculturelle
Glenn Close est l’héroïne de ce beau drame conjugal, cette femme rompue aux désirs de son mari et qui, à l’orée de la consécration de celui-ci, va remettre toute sa vie en question…
Un fils en désintox revient dans sa famille pour Noël. Un drame sensible innervé par la magistrale Julia Roberts en mère courage
En s’appuyant sur le fil tendu d’une enquête policière, le cinéaste tunisien Mahmoud Ben Mahmoud nous immerge dans les turbulences d’un pays miné par la montée de l’intégrisme religieux
Le réalisateur de "Still Alice" s'empare des jeunes années de Colette avec un regard définitivement émancipateur et féministe, depuis son mariage avec Willy jusqu'à son envol d'écrivaine reconnue
Avec Green Book, nous retrouvons le plaisir d’un cinéma américain intelligent, populaire et éminemment divertissant. Un pianiste classique virtuose s’adjoint un chauffeur, garde du corps à ses heures, pour une tournée dans les États sudistes pas toujours franchement accueillants…
Depuis l’éblouissant Moonlight, nous attendions le retour de Barry Jenkins. Il revient avec une histoire d’amour majestueuse confrontée aux turbulences racistes de la société américaine, adaptée d’un roman de James Baldwin. De la grâce, de la mélancolie, de l’injustice et un torrent d’émotions : l’année cinéma commence bien
Une traversée bouffonne et désespérée du chaos est-ukrainien. Vainqueur cette année du Prix de la mise en scène de la compétition "Un certain regard" à Cannes, Donbass est un film superbement maîtrisé
Pamela est Rom, jeune, insolente et ne peut se résoudre à suivre une vie qui semble toute tracée. Elle part donc chercher un incertain avenir en Belgique… Marta Bergman signe un premier film sensible qui puise son réalisme dans une précision documentaire tout en s’autorisant des envolées poétiques, presque romantiques. Sélectionné à l’ACID à Cannes 2018
Joseph, Joachim et Ivan. Un père et ses deux fils, chacun traversé par les affres de la vie. Félix Moati signe son premier film en tant que réalisateur et nous plonge dans un portrait de famille au masculin qui n’est pas loin de nous rappeler les débuts de Noah Baumbach.
Un documentaire précis, virulent et passionnant sur les nouveaux protocoles de l’exploitation forestière
Le retour des familles Verneuil et Koffi au grand complet ! Et Christian Clavier de s’offrir quelques convulsions pour digérer les aspirations colorées de sa famille multiculturelle
Le réalisateur de The Lobster revient avec une savoureuse comédie noire à la cour d’Angleterre, où le baroque se fait punk et l’intelligence se mue en sauvagerie grotesque. Sans aucun doute son film le plus délicieux, et le plus grand public
Pour son quatrième film, la comédienne Valeria Bruni Tedeschi se fond dans une famille de la très haute bourgeoisie qui se languit en bord de mer. Tout un art de la mise en scène hallucinée et caustique
David Lowery, le réalisateur de A Ghost Story, offre à Robert Redford son beau tour de piste dans le rôle d’un truand au grand cœur qui a du mal à décrocher de l’adrénaline des braquages
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