Pas de séances programmées pour ce film dans nos salles pour l'instant.
Ce 31 mars, jour de grève nationale, nous nous joindrons au mouvement en fermant nos lieux en journée. Nous, travailleuses et travailleurs des Grignoux, nous nous mobiliserons devant le cinéma Caméo et le Caféo pour échanger avec vous. Rejoignez-nous toutes et tous pour clamer “Debout la Culture !” Retrouvez plus d'infos dans notre édito
Retrouvez-nous devant le Caméo à partir de 9h !
Nous sommes profondément inquiet·es face à l’extrême-droitisation des discours et des mesures du nouveau gouvernement Arizona. Mais nous sommes aussi et surtout prêt·es à défendre un État et des services publics qui protègent les citoyen·nes face à une marchandisation des biens et des services ! (...) La résistance s’impose et se prépare. Et les oppositions qui foisonnent pour dire NON à ces politiques d’austérité et régressives sont enthousiasmantes et salutaires. Les Grignoux en sont et en seront, et de manière collective. >> Lire notre édito
"Depuis quelque temps, une tendance inquiétante se dessine dans le discours de certaines personnalités politiques : la remise en question du caractère politique de la culture. Ce discours qui confine la culture à une forme de divertissement, est en réalité une tentative de neutralisation de son pouvoir de transformation sociale. Car oui, la culture est politique parce qu'elle dit le monde tel qu'il est et esquisse des pistes d'évolutions. Elle s'est toujours située dans le champ politique et doit le rester". Retrouvez la carte blanche que nous avons signée début de semaine dans La Libre Belgique aux côtés de nombreux autres acteurs culturels du pays". >> lire la carte blanche de la FESEFA (Fédération des Employeurs des Secteurs de l'Éducation permanente et de la Formation des Adultes)
"Aujourd’hui, ce qui nous inquiète, ce ne sont pas les prétendus dysfonctionnements de nos institutions culturelles, mais la démagogie des discours qui les inventent et les exagèrent. Ces discours qui suggèrent que la culture est trop financée, tout en pointant du doigt la domination des productions américaines, comme si celles-ci n’avaient pas bénéficié, depuis l’après-guerre, d’investissements publics massifs qui les ont imposées dans nos imaginaires et notre quotidien, avec un grand risque d’uniformisation. (...) À l’heure où les tensions mondiales augmentent, où nos démocraties sont confrontées à des remises en question majeures, où les « vérités alternatives » et les discours simplistes prennent le pas sur les réalités des gens, et des chiffres, nous, professionnel·les du cinéma, et de la culture au sens large, avons un rôle crucial à jouer" (...) >> Lire la carte blanche complète sur le site de l'UPFF+ (Union des Producteur·ices Francophones de Films)