À travers la fausse piste du film de procès, Pascal Plante nous offre une œuvre magistrale qui nous questionne sur notre propre voyeurisme et l’obsession autour de faits divers sordides. Un film glaçant dont on ne ressort pas indemne, malgré une absence quasi-totale d’effet gore !
Le procès de Ludovic Chevalier, suspecté pour des meurtres de jeunes femmes en « chambre rouge » (mythe d’internet sur des films clandestins qui impliqueraient de réelles scènes de torture ou de meurtre à l’image des snuff movies), s’ouvre à Montréal. Dans le public, une jeune femme semble curieusement fascinée par l’accusé…