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D’après une idée originale de Géraldine Brausch, Federico D’Ambrioso suit des jeunes qui ont entre 10 et 20 ans. Ils viennent de lieux et de milieux différents et ne se connaissent pas. Ils ont pourtant vécu en 2020 la même « crise », celle de la Covid-19, celle de la suspension du temps et des repères, celle du rétrécissement de l’espace, des relations et du monde
Filmés sur le vif, dans des écoles et des maisons de jeunes, sept groupes réfléchissent, avec leur enseignante ou animatrice, à ce qui leur arrive. C’est un dialogue qui se tisse ici entre eux ; un dialogue sur leurs existences bouleversées et l’étrangeté du présent, mais aussi, très vite, sur la société dans son ensemble.
Les inégalités sociales, la gestion politique et policière, les médias et l’information, la citoyenneté, le rapport à soi et aux autres et, in fine, le futur sont au cœur de leurs réflexions, qui nous invitent, de manière presque impérative, à nous interroger sur le monde qu’on propose aux jeunes et la manière dont on les accompagne dans celui-ci.
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Avec les élèves de 5e et 6e années primaires de Nicole Renardy de l’école René Hausman à Verviers ; Les jeunes de Delphine Renard de la Maison de Jeunes La Bicoque à Liège ; Les élèves de 7e secondaire d’Aurore Compère de l’École de Coiffure et Bio-esthétique Pitteurs à Liège ; Les jeunes de Jenny Defize et Sakir Cicek de la Maison de Jeunes de Glain à Liège ; Les élèves de 7e secondaire de Perrine Rampen de l’Institut Sainte Thérèse d’Avila à Chênée ; Les élèves de 5e secondaire de Muriel De Borman, Valentine Jamaer et Thylla Nève du Lycée Intégral Roger Lallemand à Bruxelles.
