Le dernier film de Pasolini, dont on commémore les cinquante ans de la disparition, est un huis clos aussi dérangeant qu’important. Le cinéaste s’inspire du Marquis de Sade pour dénoncer l’exercice absolu du pouvoir, dans un geste artistique d’une insoutenable violence. Pour un public averti
Au temps de la république fasciste de Salò, dans un grand château italien, les détenteurs du pouvoir s’acharnent sur un groupe de jeune gens soumis à une série de sévices de plus en plus humiliants…
Présentation par Dick Tomasovic, professeur en études cinématographiques à l'ULiège.
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