La déesse Mari confie au Diable ses deux fils, nés d’un père mortel, pour leur éducation. Lorsqu’ils atteignent leur majorité, l’un, Mikelats, décide de rester auprès du maître, tandis que l’autre, Atarrabi, s’enfuit. Mais le Diable réussit à retenir son ombre
« Ta parole est un trésor mais tu l’as gaspillé », entend-t-on dans Atarrabi et Mikelats. Eugène Green y poursuit un cinéma de la parole, c’est-à-dire du Verbe et de l’Incarnation en continuant son travail sur la langue basque. Langue qui structure la pensée à l’envers ; ainsi, on commence par l’aboutissement et l’on remonte, dans un cinéma spirituel, vers la cause première : l’Un.
Projection unique en présence de Saia Hiriart, acteur
Dans le cadre du Cycle Invisibilium, un cycle de projections autour de la question de l’image invisible
En collaboration avec le Centre d’Action Laïque de Namur
Places prochainement en vente en ligne et aux caisses de nos cinémas